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sfaure

course de cote de Saint Girons 18-19/04/2009 ER.

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Pour tout renseignement contacter M. DUPUY Jean-François au 05 61 66 62 25

Classement scratch cheers

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Une côte, de bons chronos
SAINT GIRONS (09) : Unique course automobile en Couserans
La course de côte régionale Saint- Girons, sur 1.500 m, a vu la victoire au scratch de l'Agenais Christophe Malateste sur sa Formule, déjà premier en 1999. Les autres pilotes ont fait de bons chronos sur une route appréciée pour ses virages mais un peu victimes de la chaleur.

Les virages de cette côte sont devenus une référence pour les pilotes venus du Grand Sud pour la dix- neuvième édition de la course de côte régionale de Saint- Girons et deuxième édition organisée à Taurignan-Vieux et Taurignan-Castet. Les frissons étaient au rendez-vous pour le public installé à l'ombre quand surgissaient les bolides vrombissants.

C'était un régal pour les connaisseurs qui écoutaient la musique des moteurs, appréciant les accélérations fulgurantes facilitées par les systèmes d'autobloquants faisant patiner les deux roues motrices. « Regarde, lui, il marche », entendait-on d'un bout à l'autre du circuit.

Que ce soit les voitures de production, dont une série performante de Simca, ou les voitures de tourisme, ces as de la mécanique ont retravaillé pour la « côte » les suspensions, les renforts de caisse et les pneus.

Frissons garantis
On a eu droit à des émotions avec de superbes tête-à-queue, principalement sur le terrible premier virage.
Le bouquet final, c'était l'arrivée à grande vitesse des prototypes juniors avec les larges barquettes et les formules monoplaces offrant les lettres de noblesse à cette course de côte. « C'est Campi qui passe, mais c'est le père ou le fils », entendait-on dans la foule. Fidèles pilotes de la course couserannaise, que ce soit Pascal Campi avec une fameuse BMW et surtout son père Daniel Campi sur sa Lola, ils ont l'habitude de pulvériser les chronos. Frédéric Bardot, sur sa Formule 2, a été impressionnant dans sa prestation. On a vu le talent d'un grand champion, négociant avec doigté chaque montée. Jean-François Fabre, sur sa BRS, et Jean-Pierre Courtinat, sur une Martini Opal, ont offert de bons moments, mais c'est sans aucun doute Christophe Malateste, conduisant sa Martini Carburol, qui a donné un grand spectacle.

Tenue de route parfaite, accélérations, les gravillons se décollant sous la canicule n'avaient qu'à bien se tenir et décélération parfaite pour passer en douceur les bottes de foin de l'arrivée.

Revêtement fondu
Malheureusement, l'état du revêtement devenait défaillant au niveau de la sécurité dès la fin de la deuxième montée, la course en comprenant théoriquement trois. Le directeur de course a alors décidé d'éliminer la dernière épreuve, au regret de la plupart des pilotes souhaitant améliorer leur temps.

Un « gros souci » vécu par Jean-François Dupuy, président du comité directeur de l'Ecurie saint-gironnaise, et pour tous les bénévoles efficaces mais qui sera résolu à l'avenir puisque le député Henri Nayrou et Raymond Coumes, présent au nom de la communauté de communes du bas Couserans, ont affirmé lors de la remise des prix qu'ils interviendraient pour qu'il y ait au moins « trois couches de revêtement », l'Ariège devant avoir une compétition et une bonne animation en matière automobile.

Au classement Scratch
1. Christophe Malateste sur Mariani Carburol, à 55,31'', 97,63 km/h;
2. Frédéric Bardot, sur Formule 2 GL, à 55,44'', 97,40 km;
3. Jean-François Fabre sur BRS F 287, à 56,92'', 94,87 km/h;
4. Jean-Pierre Courtinat, sur Martini Opal MK 41, à 57,51'', 93,90 km/h;
5. Daniel Campi, sur Lolo T 297, 93,86 km/h.

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